Chaque année, on se sent
un peu plus chez soi. Comme dit Greg, « on ne parle plus
« d’accueil ». Monsieur et Madame SANCHEZ font entièrement confiance
à l’encadrement. C’est un plus non négligeable.
Bien que vieillissant,
le centre du Palais est très pratique. Nous avions 3 alvéoles (1 pour les
filles, 1 pour les garçons, 1 pour l’encadrement). Néanmoins, le nombre de
douche reste insuffisant par alvéole. Orientation vers les douches du gymnase
après les séances.
Bien que disponible,
nous n’avons pas utilisé les télévisions dans les chambres. Cela reste un stage
sportif avant tout. Par contre, à l’avenir, nous allons réserver la salle vidéo
afin de l’exploiter plus encore.
Cette année, les repas
ont été pris au centre. Les repas étaient préparés par un restaurateur. La
conclusion des stagiaires donne une note globale de 9/10 (quantité, qualité,
variété, équilibre). L’avantage de cette formule
est la gestion du temps. Le temps de trajet disparaît et ce temps gagné laisse
le temps pour la vidéo, le repos.
Les athlètes de l’AFA
préféreront toujours leurs installations. Ils sont devenus plus exigeants et
plus « professionnels ». Beaucoup ont remarqué que la piste de Feurs
est plus dure qu’à Feyzin ; traumatismes nombreux, jambes
lourdes dès le premier soir. La ligne droite d’arrivée est quasi inutilisable
dans les couloirs 3 à 6 car le gravier qui borde la piste l’envahit. Il n’y
avait pas de balai pour la nettoyer. Travailler dans des conditions moins
bonnes qu’à Feyzin doit permettre aux athlètes de s’habituer à toutes les
conditions. Sautoir en longueur, de perche, les haies, les starts… Maintenant,
comme dit Nano, un club voudrait utiliser nos installations, laisserions-nous
le matériel à sa disposition sans grimaces ?
DEROULEMENT
DU STAGE
4 cadres, 19 athlètes
dont 3 minimes. Ces 3 minimes ont participé exceptionnellement pour diverses
raisons. Ils ont le niveau. Bien que Hugues ait jugé faible le nombre de
participants de son groupe (10/26), il ressort 3 informations
importantes :
-
pour le bon déroulement du stage : 30
personnes maximum,
-
les plus motivés étaient présents,
-
Faudra-t-il changer la formule du stage
pour le rendre plus attrayant ?
La durée du stage est
définitivement établie sur 3 jours. Sinon, il faudrait passer à 5 jours avec
une journée de repos complète et dons une activité extra sportive à réaliser à
Feurs. Cela impliquerait un budget par athlète supérieur à 50€. Tout le monde
ne peut pas se le permettre.
Le temps de
l’apprentissage est passé. Les sports collectifs du soir ne sont plus
nécessaires. Filmer les athlètes sur les différents ateliers la journée et commenter
les images le soir après le dîner est une orientation demander par l’ensemble.
Cela permet :
â un retour au
calme plus rapide
â moins de
blessures (entorses, cocards,…)
â à l’athlète de se
voir en action.
Le stage 2004 est
terminé. Il faut se tourner vers le prochain. L’année dernière, nous avions
fait un break pour les « grands ». Malgré cela, le nombre de
participants est faible. Impossible de monter des équipes de relais complète
par catégorie. De ce fait, les stages doivent-ils conserver un caractère
exceptionnel et ouvrir la saison estivale chaque année ou faut-il les espacer
pour mieux les apprécier ? Les benjamins minimes, autre public concerné,
ont envie d’y participer. Dès lors, est-ce que l’alternance « grands –
petits » n’est pas un moyen pour sensibiliser les athlètes ?
Autre axe de
progrès : l’AFA a la possibilité d’aller à Feurs en dehors des vacances
scolaires. Le centre est largement disponible en période creuse. Stage sur un
week-end, transport en voitures personnelles, restauration faite par nos soins.
Selon la période, le travail est différent mais l’esprit reste le même :
travailler autrement en favorisant l’esprit de groupe. Deux pistes qu’il faudra
étudier avant la fin du mois de juin.