COMPTE RENDU STAGE FEURS 2004

 

ACCUEIL

Chaque année, on se sent un peu plus chez soi. Comme dit Greg, « on ne parle plus « d’accueil ». Monsieur et Madame SANCHEZ font entièrement confiance à l’encadrement. C’est un plus non négligeable.

 

HEBERGEMENT

Bien que vieillissant, le centre du Palais est très pratique. Nous avions 3 alvéoles (1 pour les filles, 1 pour les garçons, 1 pour l’encadrement). Néanmoins, le nombre de douche reste insuffisant par alvéole. Orientation vers les douches du gymnase après les séances.

Bien que disponible, nous n’avons pas utilisé les télévisions dans les chambres. Cela reste un stage sportif avant tout. Par contre, à l’avenir, nous allons réserver la salle vidéo afin de l’exploiter plus encore.

 

RESTAURATION

Cette année, les repas ont été pris au centre. Les repas étaient préparés par un restaurateur. La conclusion des stagiaires donne une note globale de 9/10 (quantité, qualité, variété, équilibre). L’avantage de cette formule est la gestion du temps. Le temps de trajet disparaît et ce temps gagné laisse le temps pour la vidéo, le repos.

 

INSTALLATIONS

Les athlètes de l’AFA préféreront toujours leurs installations. Ils sont devenus plus exigeants et plus « professionnels ». Beaucoup ont remarqué que la piste de Feurs est plus dure qu’à Feyzin ; traumatismes nombreux, jambes lourdes dès le premier soir. La ligne droite d’arrivée est quasi inutilisable dans les couloirs 3 à 6 car le gravier qui borde la piste l’envahit. Il n’y avait pas de balai pour la nettoyer. Travailler dans des conditions moins bonnes qu’à Feyzin doit permettre aux athlètes de s’habituer à toutes les conditions. Sautoir en longueur, de perche, les haies, les starts… Maintenant, comme dit Nano, un club voudrait utiliser nos installations, laisserions-nous le matériel à sa disposition sans grimaces ?

 

 

DEROULEMENT DU STAGE

 

4 cadres, 19 athlètes dont 3 minimes. Ces 3 minimes ont participé exceptionnellement pour diverses raisons. Ils ont le niveau. Bien que Hugues ait jugé faible le nombre de participants de son groupe (10/26), il ressort 3 informations importantes :

-         pour le bon déroulement du stage : 30 personnes maximum,

-         les plus motivés étaient présents,

-         Faudra-t-il changer la formule du stage pour le rendre plus attrayant ?

La durée du stage est définitivement établie sur 3 jours. Sinon, il faudrait passer à 5 jours avec une journée de repos complète et dons une activité extra sportive à réaliser à Feurs. Cela impliquerait un budget par athlète supérieur à 50€. Tout le monde ne peut pas se le permettre.

Le temps de l’apprentissage est passé. Les sports collectifs du soir ne sont plus nécessaires. Filmer les athlètes sur les différents ateliers la journée et commenter les images le soir après le dîner est une orientation demander par l’ensemble. Cela permet :

         â un retour au calme plus rapide

         â moins de blessures (entorses, cocards,…)

         â à l’athlète de se voir en action.

 

Le stage 2004 est terminé. Il faut se tourner vers le prochain. L’année dernière, nous avions fait un break pour les « grands ». Malgré cela, le nombre de participants est faible. Impossible de monter des équipes de relais complète par catégorie. De ce fait, les stages doivent-ils conserver un caractère exceptionnel et ouvrir la saison estivale chaque année ou faut-il les espacer pour mieux les apprécier ? Les benjamins minimes, autre public concerné, ont envie d’y participer. Dès lors, est-ce que l’alternance « grands – petits » n’est pas un moyen pour sensibiliser les athlètes ?

Autre axe de progrès : l’AFA a la possibilité d’aller à Feurs en dehors des vacances scolaires. Le centre est largement disponible en période creuse. Stage sur un week-end, transport en voitures personnelles, restauration faite par nos soins. Selon la période, le travail est différent mais l’esprit reste le même : travailler autrement en favorisant l’esprit de groupe. Deux pistes qu’il faudra étudier avant la fin du mois de juin.